J’ai découvert que le sport permet de fabriquer des hormones de plaisir. Ce qui explique en partie le « manque » qu’on peut ressentir en ne s’entraînant pas régulièrement. C’est vrai qu’il vaut mieux être en manque de sport qu’en manque de clopes, par exemple. Mais quand même ça me gêne quelque part de devenir dépendante à la fonte.
Et puis, je ne vais plus regarder d’un même œil ces hommes qui poussent des cris soi-disant parce que c’est lourd… Déjà que je ne peux pas me concentrer sur la machine à lombaire à cause de l’explication de Charlie : on y est bien placé quand « les roubignoles sont dans le trou », parait-il… Oui, certains appareils ont des creux pour permettre aux prétentieux de ne pas se faire mal. Quelles chochottes ! Faut dire que s’ils forcent trop et qu’ils déversent un peu trop d’hormone, y a peut-être besoin d’un creux effectivement… C’est plus discret ;p Mais les nanas, elles ? Elles ont des creux pour leur poitrine ?? Non ! Vive la discrimination !
Bref, j’aime le sport… y a pas de mal à se faire du bien 😉
Un commentaire pour “Hormone de plaisir”
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Quelque chose à dire ?
Tiens, je lisais l’autre jour que pousser des cris à la salle de sport, c’était plutôt mal vu, et que c’était la preuve que les poids n’étaient pas adaptés, justement. Enfin, en gros, que les cris bestiaux faisaient passer pour un plouc… 😉
Écrit par David, le jeudi 25 mars 2004